« Mon lycée, c’est le Pérou ! »

Mon lycée couverture

Roman de 180 pages

                  Cher Michel,

 

                    Très concerné par l’aventure péruvienne où les élèves de notre lycée ont tenté l’expédition au Nevado-kopa à 6200 m et observateur attentif, dans le même temps, de l’invention par un autre groupe, de l’Ascenseur de piscine pour les handicapés,  je te fais part de mon admiration pour l’imagination et la vérité que tu as réussi à coucher sur les pages de ce livre.

On voit clairement nos adolescents en train de se construire sur des valeurs hors des circuits programmés.

Le sommet du Névado Kopa 6200m

Le sommet du Névado Kopa 6200m

Belle émotion !

Certes les photos, le film, et l’oralité ont magnifié en son heure ces deux histoires incroyables mais rien n’avait été « inscrit dans le marbre»…tu l’as fait et en les romançant tu ouvres les portes d’une lecture universelle.

Notre chère Education nationale devrait s’attacher à ce type d’initiative pédagogique, hors du commun et lui accorder considération.

Comme impact  sur un large public, un tel ouvrage pourrait accompagner la formation de nos jeunes collègues  enseignants, histoire de les éloigner un temps de l’ouvrage qu’ils ont sur leur matière diplômante.

Merci de t’être approprié, à ta façon, ces histoires et d’avoir donné à ces inconnus du monde éducatif une part de lumière qui leur revient.

Ton collègue et ami.   

 Didier

Avis des lecteurs

Une belle écriture qui nous embarque dans une aventure hors du commun.
Béatrice L Paris Août 2015


Vous n’avez pas fait de fausses concessions à la jeunesse. C’est bien de savoir résister.
Jacques M. de Nevers Août 2015


“ Lycée“ et “Pérou“ condensent ainsi pour moi, le dur labeur de la pédagogie et du rêve.
Dans votre roman, ces signifiants paradoxaux se rencontrent et s’harmonisent autour d’une expérience humaine vectorisée par un projet hors du commun.
Antoine, Enzo, et Adji, sans oublier Nora, cristallisent cette expérience dans l’action, l’effort, les interdits, le renoncement lié à son appartenance au groupe et les rêves.
Ce projet du Pérou apparaît à la fois un peu fou tout en tant très bien orchestré. Il parle des limites, de la survie et des extrêmes. Il canalise ainsi le goût du risque chez ces adolescents, celui du dépassement de soi et de la recherche d’un idéal forcément coloré d’inaccessibilité.
J’ai bien aimé cette aventure pédagogique qui témoigne de l’engagement des enseignants auprès de jeunes parfois difficiles et parfois dans le risque de la délinquance.

J’ai partagé votre idée d’une pédagogie plus libertaire, orientée davantage vers l’action, une pédagogie enfin dégagée des orientations idéologiques qui l’encombrent et qui fluctuent sans cesse.

Jean-Louis D. de Grenoble Octobre 2015

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